IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NINGYO

Sur certains types de poupées, sur la fabrication, sur les mécanismes, ...

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Svejk
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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 25 janv. 2012, 00:29

Nadia la Limougeaude a écrit :ma poupée, mais j'ai été obligée de la réduire à 150 pixels, c'est vraiment petiot
Mm.. c'est vraiment trop petit, je n'y distingue rien.
Je ne sais pas comment on fait, ici, pour poster des photos plus grandes.. il faudrait demander à Wendy si c'est possible.

Sur les autres forums, le truc consiste à héberger ses photos sur un hébergeur spécialisé où on peut les poster au format qu'on choisit - moi, j'utilise "servimg" - puis, sur le forum, mettre un lien vers l'adresse de la photo sur l'hébergeur.
C'est ce que je fais pour mes articles: toutes les photos qui se trouvent dans le texte sont hébergées sur "servimg": quand tu postes (upload) une photo sur l'hébergeur, il te donne une adresse pour ta photo. Si tu copies cette adresse dans ton message, cela donnera un lien à cliquer vers ta photo. Si tu copies le lien, puis que tu mets autour les "balises" img et /img entre crochets, cela fait apparaître ta photo dans ton message (à condition que le forum accepte les dimensions).

Tu peux aussi la mettre dans ton album, mais je ne sais pas où sont les albums sur ce site .. il faudra que je cherche.

Pour moi, la solution la plus pratique si tu envisages de publier un certain nombre de photos sur Internet, c'est celle de l'hébergeur (gratuit !), parce que ce système te permet de publier chaque photo que tu postes, autant de fois que tu veux sur autant de sites ou d'adresses web que tu veux, en la postant une seule fois, donc en faisant une seule fois le travail de traitement d'image.
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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 25 janv. 2012, 01:51

Marraine a écrit :Je mets la mienne , enfin c'est celle de mon mari, ramenée du Japon en 1968 si mes souvenirs sont bons, je ne le connaissais pas à l'époque.........
C'est une boite à musique. La poupée est sale, je ne sais pas en quoi elle est, pour pouvoir la nettoyer sans l'abîmer....
Elle mesure 26cm sans le socle et la boite, et elle porte un casque sur son bras.
Hello Marraine !

Je venais d'écrire un article de commentaires sur ta poupée, mais il a disparu à cause d'un bug de connexion (frustrant ..). Je vais le réécrire hors ligne et je le posterai plus tard.
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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 25 janv. 2012, 03:39

Marraine a écrit :Je mets la mienne , enfin c'est celle de mon mari, ramenée du Japon en 1968 si mes souvenirs sont bons, je ne le connaissais pas à l'époque.........
C'est une boite à musique. La poupée est sale, je ne sais pas en quoi elle est, pour pouvoir la nettoyer sans l'abîmer....
Elle mesure 26cm sans le socle et la boite, et elle porte un casque sur son bras.
Hello cher(e)s ami(e)s, hello Marraine !
Après ma victoire contre les mystérieuses forces hostiles des connexions Internet, voici mon article sur ta poupée, Marraine.

@ Marraine :

ImageTes photos sont suffisamment claires pour que je puisse identifier ta poupée.
Elle représente « Yaegaki Hime », la Princesse Yaegaki, un des principaux personnages d’une histoire du théâtre Kabuki, dont la trame se passe à l’époque de Muromachi dans le calendrier historique japonais (contemporaine de la Renaissance dans notre calendrier), où le Japon est encore un pays féodal dominé par des nobles guerriers.
Je raconterai bientôt, dans un autre article, cette histoire qui concorde partiellement avec la vérité historique.

Pour Parsifal : la « chose qu’elle porte sur le bras », est une représentation stylisée d’un casque de Samouraï, objet important dans la pièce de théâtre, et qui symbolise le rôle et le personnage de Yaegaki Hime. Je reconnais que l'objet, vu sous certains angles, est totalement indéfinissable.

L’appréciation artistique :

Ta poupée est très jolie, elle a un visage aux traits fins et charmants, elle est élégante, soignée et bien proportionnée.
Elle témoigne d’un de ces compromis que les créateurs de poupées japonais ont consenti depuis l’époque Meiji (fin XIXè siècle), à la mode dictée par les touristes occidentaux amateurs de souvenirs, collectionneurs d’objets d’art et de poupées exotiques : le casque stylisé, accessoire traditionnel du Kabuki, indique qu’elle représente Yaegaki Hime. Et pourtant, son costume et son allure représentent une Geisha. La raison, c’est que les poupées Geishas, symboles éternels aux yeux des occidentaux peu intéressés par les subtilités difficiles du Kabuki et des légendes japonaises, se vendent bien, beaucoup mieux que les poupées en authentique costumes Kabuki, sans doute jugés trop tarabiscotés et incompréhensibles.
On retrouve aussi un peu de ce compromis dans les traits du visage, qui par le nez et la bouche, sont presque européens, signe rare, ici, d’une mode passagère ou d’un artiste créateur très particulier, à comparer avec les autres visages qu’on peut voir dans mon article plus haut.
Son élégance ne doit rien au hasard : la petite pointe de cheveux peinte sur le sommet du front, le soin apporté à la conception de sa coiffure et de son de son kimono « Furisode » en brocart (vraisemblablement de soie), qui devait être doré à l’origine, s’il ne l’est encore, la rendent digne de figurer parmi les « élégance suprême », malgré l’air un peu triste et défraîchi que lui donne la patine de l’âge, et que je commenterai plus loin.

Son état :

Je ne parviens pas à savoir, d’après les photos, si sa tête est en porcelaine ou en gofun, mais je parierais sur le gofun, matière beaucoup plus fréquemment utilisée dans la fabrication de ce genre de poupées, et souvent confondue, à ma grande surprise, par les non-japonais, avec une sorte de porcelaine. Pour en être certain, il faudrait pour bien faire que je puisse la toucher.
Dans le doute, je te conseille d’éviter toute tentative un peu invasive de restauration ou même de nettoyage. La seule intervention que j’oserais tenter, consiste à en faire tomber la poussière (s’il y a lieu), à l’aide d’un pinceau à poils raides, ou d’une petite brosse assez souple, et surtout, très propres ! Proscrire à tout prix le contact avec un ustensile humide, ou pire, mouillé : les dégâts sur le gofun seraient immédiats, catastrophiques et irrémédiables !
Patine de l’âge mise à part, elle semble en excellent état : aucune pièce de vêtement n’est déplacée, sa coiffure est toujours régulière et soignée, et le seul accessoire dont elle était munie à l’origine, le casque stylisé, est présent.
Il faut savoir que, dans beaucoup de cas, les objets anciens « naturellement vieillis » acquièrent de ce fait un charme particulier qui leur donne, quand il s’agit d’objets de qualité au départ, et pour autant qu’ils soient encore en bon état, plus de valeur d’antiquité que lorsqu’ils sont rafraîchis ou restaurés.
D’un autre côté, elle a complètement perdu sa pose : elle est toute penchée, et son bras droit ainsi que le casque ont dû, au cours du temps, se déplacer et ont perdu l’élégance de leur position d’origine. Cela mérite une intervention qui doit être tout à fait réalisable, à supposer que les matériaux dont elle est constituée (les corps de ces poupées étaient faits d’un assemblage de carton, de paille et de fil de fer), aient conservé un minimum de souplesse, et en s’y prenant sans hâte, petit à petit, avec prudence, précision et légèreté. L’astuce consiste à se documenter, observer des dizaines de poses de poupées Geishas, voire d’estampes, jusqu’à retrouver la pose qu’elle avait à l’origine. La "chose" qui fut une sorte de casque de Samouraï, mérite aussi d'être remise en forme et à l'endroit, afin qu'elle soit presque reconnaissable. J'ajoute que comme c'est un accessoire de théâtre stylisé et non un véritable casque de Samouraï, même dans les représentations du "vrai" Kabuki, à moins de connaître le scénario, on peut hésiter sur sa nature exacte.

Le point de vue du collectionneur :

Personnellement, je l’aime beaucoup. Parce qu’elle a plus de charme que beaucoup de poupées plus récentes ou en meilleur état. Elle mérite l’étiquette, toute commerciale, j’en conviens, de « Vintage Geisha Doll », comme disent les américains, authentique poupée Geisha ancienne.
Pourquoi « authentique » ? Parce que, toute entière, sans artifice, elle d’une époque, où ces poupées japonaises étaient fabriquées entièrement à la main, sans doute y compris les mains et les pieds (il faudrait que je puisse en voir des photos assez grandes pour en être certain, mais je parie là-dessus), méthodes de fabrication courantes à l’époque où elle a été conçue, mais qui aujourd’hui sont réservées à l’artisanat d’art qui se paie cher. Parce que, aussi, certains détails, comme la finesse de son visage, lui font transcender le statut de simple objet, pour atteindre celui d’œuvre d’art.
D’autre part, le compromis qui consiste à représenter la Princesse Yaegaki sous l’aspect d’une Geisha contrariera sans doute les inconditionnels du Kabuki, qui déploreront comme une trahison cette entorse à l’authenticité des rituels, au profit des opportunités commerciales. Certains argumenteront que le personnage de Yaegaki Hime en Geisha n'est pas invraisemblable, les japonais ont tout de même accordé beaucoup d'attention à ne pas trahir leur propre authenticité, et des Geishas ont parfois joué des rôles au Kabuki. Le débat reste ouvert et intéressant, mais certains collectionneurs, comme moi, s'intéressent plus aux costumes Kabuki qu'aux Geishas, d'autres font l'inverse, et d'autres encore collectionnent les deux.
Et, finalement, tant qu’à évoquer ce sujet, on trouve sur le « marché des poupées traditionnelles japonaises », toujours pour les raisons que j’expliquais plus haut, d’innombrables Geishas, alors que les poupées en costumes Kabuki, comme celles que je recherche, (je devrais pouvoir vous montrer bientôt ma petite Yaegaki en costume Kabuki) sont rares en belles Oyama Ningyô, même en versions approximatives.

En conclusion :

Elle mérite bien un « redressement de la situation », puis une mise en valeur par de belles photos ou par son exposition sous un éclairage approprié.

Merci pour ce partage.
Modifié en dernier par Svejk le 25 janv. 2012, 11:40, modifié 1 fois.
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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Marraine » 25 janv. 2012, 09:51

Merci, merci Svejk. Je vais faire d'autres photos rapprochées et voir ce qu'elle a sous sa robe :thinking1:

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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 25 janv. 2012, 11:56

@ Marraine:

A propos de rendre à la poupée Geisha de ton mari sa pose originale, le mieux serait que tu m'envoies, si possible, des photos de la poupée entière prises sous les quatre côtés: face, profil gauche, profil droit, derrière (pour que je voie bien de quel côté elle penche), puis, aussi, des informations sur la manière dont elle est fixée sur son socle: c'est, soit une pièce de bois (petit bâton) qui relie le corps de la poupée au socle, soit un fil de fer assez raide qui joue le même rôle.
Dans le plus simple des cas, ce petit bâton ou ce fil de fer ne tiennent plus bien en place dans le socle, on peut facilement redresser la poupée à la main, mais quand on la lâche, elle retombe dans sa position penchée. Il suffit alors de refixer (avec de la colle ou du mastic ou une substance semblable) le petit bâton ou le fil de fer au socle.
Si ce n'est pas le cas, il faut être plus prudent, n'agir que sur ce qui relie la poupée à son socle, pour ne pas abîmer la poupée. Ma "Yaegaki", qui date de fin '60 début '70, a elle aussi besoin de ce genre de "redressement".

Pour la position de son bras gauche et du "casque", ce serait bien d'avoir des photos de détail du bras entier avec l'épaule, vu de devant et de derrière.

Ca fait beaucoup de photos .. et l'intérêt d'ouvrir un autre "fil de discussion" sur le sujet "remise en forme de poupées Oyama Ningyô", car on s'écarte du sujet de ce fil-ci.
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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Marraine » 25 janv. 2012, 12:17

Je crée un post dans le Cabinet médical :content4:

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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 25 janv. 2012, 23:02

Marraine a écrit :Je mets la mienne , enfin c'est celle de mon mari, ramenée du Japon en 1968 si mes souvenirs sont bons, je ne le connaissais pas à l'époque.........
C'est une boite à musique. La poupée est sale, je ne sais pas en quoi elle est, pour pouvoir la nettoyer sans l'abîmer....
Elle mesure 26cm sans le socle et la boite, et elle porte un casque sur son bras.
Hello Marraine !
Une suite à mes commentaires sur la Geisha de ton mari, décidément intéressante:

1. Elle porte un "Maru Obi"

Image
La large ceinture, ou « Obi » se noue dans le dos, sauf pour les « Oiran », Geishas de haut rang, et les femmes mariées, qui le nouent sur le devant.
Fabriquer et nouer l’Obi est, dans l’art du vêtement Japonais, une technique par laquelle les femmes affirment leur savoir-faire vestimentaire. Un peu comme la cravate ou le nœud papillon pour les hommes occidentaux, à l’époque où ces accessoires furent « inventés » par les Dandys. On constate d’ailleurs une concordance chronologique entre l’époque des Dandys, parangons de l’élégance masculine anglo-saxonne (1890 – 1914) et l’apogée de l’art de l’Obi au Japon, avec le « Maru Obi ».
Le Maru Obi est « le classique » : popularisé durant les époques de Meiji (1867-1912) et de Taishô (1912-1926), il devint par la suite un effet d’apparat, développé jusqu’à l’excès, comme on peut le voir sur certaines photos où il finit par couvrir presque tout le dos de la femme qui le porte. Richement décoré de brocarts sur toute la longueur et sur les deux faces (ce qui n’est pas le cas des autres Obi qui ne sont en brocart qu’aux extrémités), il est cependant, en réalité, lourd, inconfortable et cher. Ce qui lui valut d’être remplacé par le "Fukuro Obi", dont le nœud, dans le dos, bien sûr, adopte une forme cylindrique.
Le « Maru Obi » se porte avec le kimono « Furisode » (kimono de luxe ou d’apparat à longues pièces de tissu sous les manches), ou encore les « Irotomesode » et les « Kurotomesode », vêtements de cérémonie portés lors des mariages par les femmes des familles de la mariée ou du marié, et sur lesquels apparaissent les blasons de familles.
Il me reste à commenter le "Obiage" et le "Obijime", ceinture et cordelette qui , servant à tenir en place le montage de l'Obi, sont aussi essentiels, je suppose qu'ils sont présents sur cette petite poupée, mais on ne les voit pas sur les photos.

2. L'encolure du kimono féminin:

Image
Pour les jeunes femmes japonaises, la tradition de montrer sa nuque est un geste de sensualité, une jolie nuque blanche étant considérée comme très attractive. Plus jeune est la personne, plus l’arrière de l’encolure sera basse. Les Geishas et les Maïko portaient l’arrière de l’encolure de leur kimono plus basse que les autres femmes, et se maquillaient la nuque en blanc.
On remarque la qualité de cette petite poupée au réalisme et à l’élégance de son furisode dans le décolleté de la nuque : sur beaucoup de poupées Geisha moins soignées, cette partie est moins réussie et donne parfois l’impression qu’elles ont la tête de travers.
Celle-ci, par contre, est très sexy.

3. Les différentes couches du vêtement :

Image
Le plus ancien vêtement des nobles japonais était le « Juni-Hitoe », ou « vêtement à 12 couches », qui n’est plus porté actuellement que par l’empereur, dans quelques cérémonies exceptionnelles. Et encore, je ne suis pas sûr: ça doit être insupportablement lourd. Mais il en est resté que le fait de montrer plusieurs couches de vêtement est un signe de « richesse intérieure ».
Dans le Kabuki, les personnages portent des vêtements compliqués aux multiples couches : la Kabuki est un spectacle essentiellement visuel, où les personnages expriment leurs émotions par les gestes de la danse, mais aussi en modifiant l’apparence de leurs costumes, dévoilant les couches du dessous, ou les doublures de couleurs différentes. Dans le Kabuki, cela se fait de façon spectaculaire. Les couches du vêtement de cette petite Geisha sont une discrète référence à sa richesse d’émotions ou de sentiments.

Enfin: j'ai trouvé un article - dont je me suis inspiré et dont j'ai traduit une ou deux phrases, à propos d'une poupée qui a le même charme: à voir, il contient de belles photos.
http://wafuku.wordpress.com/2009/04/01/ ... afukucouk/
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3dhelene

Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par 3dhelene » 26 janv. 2012, 09:30

:] c'est un plaisir de te lire.

Nadia la Limougeaude

Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Nadia la Limougeaude » 26 janv. 2012, 13:24

essai avec paint
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.

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Re: IDENTIFICATION DES STYLES DE POUPEES JAPONAISES ISHO NIN

Message par Svejk » 27 janv. 2012, 04:38

Nadia la Limougeaude a écrit :essai avec paint
Hello Nadia !
Cette fois, la photo est plus grande et meilleure, mais il en faudrait d'autres, et surtout des détails, de sa coiffure, de ses vêtements, de devant, de derrière, de tout ce qu'elle peut avoir de particulier, de différent des autres.
Est-ce que tu pourrais me raconter l'histoire de cette curieuse poupée ? D'où vient-elle ? De quand date-t-elle ? Qui a créé ses vêtements ? Pourquoi l'appelles-tu "Japonaise" ?

Merci .. à bientôt.
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